Qui ne s’est jamais questionné sur la
légitimité des procédés quelque peu équivoques des relations publiques ? Le
« Green washing » est l’exemple parfait pour nous amener à saisir
l’influence de ces boîtes formées minutieusement, pour transmettre un message
de manière à améliorer l’image d’une entreprise face à une situation parfois
délicate. En terme de développement durable, l’effet du « green
wahing »[1] est
fréquemment soulevé et s’exprime en terme d’investissement, par voie de
communication, dans le but de favoriser une image plus verte perçue par les
consommateurs.
En contexte de green washing, les entreprises passent plus de temps à tenter d’améliorer leur image qu’à concrètement intégrer des pratiques plus vertes afin d’améliorer le développement durable. L’exemple parfait est celui des compagnies pétrolières qui disent travailler sur des nouveaux procédés plus verts, mais qui en réalité, ce procédé ne fait partie qu’en minorité des activités organisationnelles et n’est clairement pas identifié comme des activités durables. L’aspect image et perception de la clientèle est l’intérêt premier de ces entreprises qui font face à de hauts risques tels les désastres environnementaux.
En contexte de green washing, les entreprises passent plus de temps à tenter d’améliorer leur image qu’à concrètement intégrer des pratiques plus vertes afin d’améliorer le développement durable. L’exemple parfait est celui des compagnies pétrolières qui disent travailler sur des nouveaux procédés plus verts, mais qui en réalité, ce procédé ne fait partie qu’en minorité des activités organisationnelles et n’est clairement pas identifié comme des activités durables. L’aspect image et perception de la clientèle est l’intérêt premier de ces entreprises qui font face à de hauts risques tels les désastres environnementaux.
Évidemment, dans plusieurs cas, ce que les
procédés de relations publiques ou les groupes marketing d’une entreprise
transmettent semble plutôt détaché de la réalité. Cet outil malhonnête accompagne
les organisations à exprimer un intérêt superficiel et biaisé pour les diverses
externalités sociales et environnementales que leurs pratiques peuvent causées.
Ainsi, ces organisations tentent d’améliorer leur image, de démontrer leur
légitimer face à des enjeux actuels. Évidemment, en ce qui attrait au
« green washing » l’aspect financier est l’intérêt souvent principal
et malhonnête dans cette approche.
Voici un vidéo de Futerra, une entreprise
spécialisée en développement durable
Leur mission
“From brand to sustainability
strategy, behaviour change to consumer campaigns, we create inspiring
sustainable substitutes, not simply sacrifices.
Together with our clients we
make sustainable development so desirable it becomes normal”
Comme ce précédent vidéo l’explique,
Futuerra[2]
a pour mission d’émettre des réserves face aux
actes souvent de « green washing » difficile à identifier et
d’introduire concrètement le concept du développement durable au sein des organisations. L’entreprise dynamique propose
plusieurs blogues interactifs, des techniques pour introduire concrètement et
quotidiennement le développement durable dans nos pratiques. Selon le
co-fondateur Ed-Gillespie, considère que nous sommes la première génération à
comprendre et apprécier la complexité des problèmes environnementaux. Selon
lui, il est primordial de changer nos perceptions face aux paradigmes, changer
notre perception du monde, de notre environnement. Il faut considérer celui-ci
comme une richesse et arrimer à un équilibre entre notre comportement et la préservation durable des piliers du
développement durable. De plus, il associe les facteurs sociaux tels nos
comportements personnels, notre intérêt pour changer de comportement et le celui
des gens qui nous entourent.
En somme, ce vidéo exprime clairement les
enjeux et l’importance des changements de paradigmes et de perceptions de la
communauté face au développement durable.
« We can’t fix
what we won’t acknowledge isn’t really working »
Cette phrase m’inspire particulièrement et
favorise la réflexion en ce qui attrait à la responsabilisation de tous et
chacun dans un monde plus eco-responsable. Le développement durable est un défi
culturel, sociétal et personnel.
En terminant, je suis persuadée que bien
des organisations et des gestionnaires ont des considérations honnêtes et que
l’instauration d’outils d’éco-contrôle, l’introduction des considérations plus
vertes peuvent se traduire concrètement et non simplement par une approche superficielle favorisant simplement l'image de marque d'une organisation.
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